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C'est le soir que le ciel prend les couleurs les plus extraordinaires, transformant quelques instants le paysage en féérie ou en décor inquiétant.
Petites variations sur un thème: le ciel photographié au même endroit, à des saisons différentes...
"Le lion "
"Fusion"
" Rouge sang "
"L'or du couchant"
"Envol"
"Soir d'automne"
"Juste avant la nuit"
"Avant l'orage"
"L'éclair"
Crédit photos: © Loxiafilms / Philippe Parolini - 2018
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Une nouvelle année commence, que l'on espère plus riche en événements heureux que 2017.
Créé en 2008, le label Loxiafilms fête cette année ses dix ans d'existence. C'est l'occasion de faire un petit bilan sur Loxiafilms pour l'année écoulée.
Le nouveau site Loxiafilms : au mois de décembre, le nouveau site ouvert en février 2016 passe allègrement le cap des 450 visiteurs mensuels. Ce qui signifie que vous êtes de plus en plus nombreux à consulter ce petit blog. Merci pour vos visites et l'intérêt manifesté pour nos activités, d'autant que ce site relevait plus du bloc-note personnel que d'un endroit public. N'hésitez pas à réagir aux articles que nous éditons (il suffit de cliquer sur
la petite icône en bas de l'article pour faire apparaître un espace d'écriture! )
L'ancien site Loxiafilms : entièrement "relooké " et fortement allégé, il ne reprend que les informations principales concernant les nouvelles productions.
Quelques faits marquant l'année 2017 de Loxiafilms :
le prix du public obtenu par "Annabelle grand paon de nuit" au Festival de Films Animaliers d'Albert
le grand prix du Festival de Namur obtenu pour "La litière forestière, un univers inconnu" de J.P. Bertrand et P. Bodu, amis de Loxia.
Productions 2017: "Le canard qui voulu être roi"
enfin, le grand prix professionnel du festival d'Abbeville obtenu par notre ami Frank Neveu pour son exceptionnel "Voyage de l'eau"
Nous espérons pouvoir annoncer une récompense au film de notre ami Gilles Henri "Le printemps de Bonxie" sélectionné pour la prochaine édition du Festival de l'Oiseau et de la Nature d'Abbeville.
Excellente année 2018 à tous !
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L'actu de décembre est consacrée à ce rongeur bien sympathique qu'est le ragondin. Deux bonnes raisons de parler de lui.
La première: il est une des stars du dernier opus de Loxiafilms: "Sur la rive". (voir aussi nouvelles productions Loxiafilms )
La seconde, le fait que les animaux photographiés ci-dessous ont été massacrés cet été par des lieutenants de louveterie sur commande de la municipalité de Besançon. Les motifs de salubrité publique et de protection des rives laissent un peu dubitatif: le ragondin est présent depuis des décennies à l'endroit où il a été photographié. Il ne semble pas, depuis les dernières quarante années qui se sont écoulées, que les dégâts occasionnés par ce rongeur n'aient été particulièrement catastrophiques, ni que ses populations n'aient jamais été particulièrement pléthoriques... Force est de constater, que les déprédations occasionnées par les usagers indélicats ont été plus préjudiciables à l'environnement que l'impact de l'activité de ce sympathique rongeur. À ce jour, aucun ragondin n'a été pris de flagrant délit d'ivresse sur la voie publique et il semblerait que les étrons qui décorent et parfument les trottoirs ne soient pas le fait du malheureux rongeur. Aucun des représentants de la gent ragondine ne s'est jamais rendu coupable de balancer dans la rivière, bouteilles vides, sacs en plastique, et autres cochonneries qui jonchent habituellement les parcs et les rues de la ville, donnant bien du travail aux employés municipaux, qui, pourtant. n'en manquent pas ! Si vous avez remarqué des dégâts faits sur les rives ou sur les écluse du Doubs à Besançon, contactez nous vite !
Les ragondins avaient acquis une confiance bien sympathique après avoir été nourris pendant l'hiver par Robert, un amoureux des animaux. Confiance fatale qui a permis aux flingueurs officiels de remplir rapidement et efficacement leur lugubre office.
Chaque matin, je longe les rives désormais dépeuplées du Doubs, ornées de bouteilles vides et sacs plastiques qui se prennent dans les branches des arbustes de la berge. Triste épisode bien représentatif d'une époque qui prétend tout aseptiser, tout maitriser mais qui, en fin de compte, ne fait que dégrader toujours plus notre environnement. À pleurer...
Crédit photographique: © Loxiafilms / Philippe Parolini - 2017
Voir aussi l'article ce mois-ci dans la rubrique "Nature et petites bêtes en photos"
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Le ragondin myocastor coypus est un cousin du castor duquel il diffère principalement par la tête plus massive, par ses grandes incisives oranges, bien visibles dès qu'il relève la tête, et une queue ronde presque nue (celle du castor est plate et très élargie).
Quelques images de ragondins que l'on ne verra plus sur les berges du Doubs.
Portrait d'un jeune ragondin
Les grandes incisives oranges sont toujours bien visibles chez le ragondin adulte.
Une queue de rat, lisse, bien différente de celle du castor.
Maman ragondin procède à une toilette méticuleuse pour entretenir les qualités de sa fourrure.
L'un de ses jeunes se restaure !
J'aime ma maman !
Crédit photographique: © Loxiafilms / Philippe Parolini - 2017
Voir aussi l'article dans l'actu de décembre: Le ragondin star martyre du film "sur la rive"
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Pas de cinéma pour cette actu. Juste une affiche , celle de change.org contre l'utilisation de l'huile palme.
Pour des raisons essentiellement mercantiles, les industriels de l'agroalimentaire continuent de produire et d'utiliser un produit catastrophique pour l'environnement (la culture du palmier à huile conduit notamment à la déforestation et un appauvrissement dramatique de la biodiversité, en particulier à la disparition de l'ourang-outan) et, directement, pour la santé des consommateurs.
Change.org fait circuler une pétition pour faire pression sur la société Lu qui ne semble pas prête à changer ses méthodes de fabrication.
En savoir plus à pros de l'huile de palme sur le net (les opinions divergent parfois...):
Futura sciences : huile de palme: une catastrophe écologique planétaire
National geographic: ce qu'il faut savoir sur l'huile de palme
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